🥋 Cloître De La Basilique Santa Chiara

EtNaples, ce n’est pas que cela : c’est aussi la majestueuse Galerie Umberto I, ce sont ses 3 châteaux, son Palais Royal grandiose, son immense Piazza del Popolo et encore, nous n’avons pas tout vu car certains lieux comme la Basilique Santa Chiara et son cloître seront fermés lors de notre passage. Et bien sûr, Naples, c’est Trouvezdes images et des photos d’actualités de Santa Chiara sur Getty Images. Choisissez parmi des contenus premium de Santa Chiara de qualité. Naples basilique de San Paolo Maggiore. Naples, intérieur de la Basilique de San Paolo Maggiore. Cloître de Santa Chiara, Naples. Première | Précédente | 1 2 | Suivante | Dernière. Gérez votre photothèque en ligne avec Connexion - Contacter le webmestre - Les photos publiées dans ces galeries sont la propriété de Gilles Hars et ne peuvent être utilisées sans son Etdans la zone archéologique souterraine, vous pouvez voir la Basilique Santa Restituta du 4ème siècle, la plus ancienne église de Naples. Vous y verrez d’excellentes fresques de plafond et les colonnes d’un temple romain. 5.-. Monastère et musée de San Martino. Ane pas manquer - Les places : piazza Trilussa, piazza Santa Maria in Trastevere, piazza S. Cosimato - la Villa Farnesina et ses magnifiques fresques - la fontaine de l'Acqua Paola - la Basilique Santa Maria in Trastevere. En option. RAVELLO EN PRIVÉ. Perché entre ciel et terre au-dessus de la côte amalfitaine, Ravello est un petit bijou d Lorsde notre promenade en direction de la basilica di Santa Chiara, comme au deuxième étage d’un cloître qui relie les deux basiliques. Photo ci-dessus : Le cloître qui relie les deux églises. Nous empruntons d’autres escaliers pour finalement arriver à la deuxième église, l’église supérieure. Il y a foule. Le plafond est impressionnant. Dans le transept, il y a des Téléchargercette image : Banc décoré de carreaux, cloître de la Basilique de Santa Chiara, Basilique de Santa Chiara, ville de Naples, Campanie, Italie, Europe. - 2DF82P3 depuis la bibliothèque d’Alamy parmi des millions de photos, illustrations et vecteurs en haute résolution. Traductionsen contexte de "basilique gothique" en français-anglais avec Reverso Context : Au fil des siècles qui suivirent, la maison de prière se développa pour devenir une impressionnante basilique gothique. LaBasilique Saint Clément, ainsi nommée en l’honneur du Pape Clément 1 er martyrisé à la toute fin du premier siècle, offre au visiteur trois niveaux de découverte. La zone archéologique la plus ancienne, située à dix mètres sous terre sur les lieux supposés de la résidence romaine de Clément, propose tout à la fois un vaste bâtiment que l’on pense être une 2 Basilique et couvent Santa Chiara de Naples. La basilique de Santa Chiara est de style gothique et a été construite au XIVe siècle sur les thermes romains. D’un côté se trouve l’ensemble monastique avec son cloître, un musée et des vestiges de fouilles archéologiques qui, j’en suis sûre, ne vous laisseront pas indifférents. 3 Admirer le patrimoine royal à Naples. 4- Observer l’art dans les stations de métro. 5- Déjeuner dans un café librairie. 6- Se réfugier dans la belle galerie napolitaine. 7- Déguster les meilleurs chocolats de Naples. 8- Admirer le cloître de Santa Chiara. 9- Nemanquez pas de visiter les environs de votre adresse : le Musée archéologique, les catacombes de San Gaudioso, la basilique Santa Maria della Sanità Si vous souhaitez quitter le brouhaha de la ville, rejoignez le plateau du Vomero en funiculaire. En haut, le château Sant’Elmo et la chartreuse San Martino offrent de superbes points de vue sur la ville, le golfe et le Vésuve. Laissantl’église de San Domenico Maggiore, puis de travailler à Benedetto Croce nous abordons un autre grand et fascinant ancien complexe de style gothique, la basilique de Santa Chiara avec son cloître précieux et caché a été modifié par les bombardements de la Seconde Guerre mondiale , soulignant son caractère original avec le tombeau monumental encore attribués à Basede données Medium (reproductions, manuscrits, manuscripts, microfilms, CNRS, IRHT) Lesmonuments baroques à visiter à Lecce sont l'amphithéâtre, le Palazzo del Seggio, la Piazza S. Oronzo, le Palazzo del Governo, l'ancien cloître des Célestins ainsi que de nombreuses églises comme Santa Chiara et San Niccolò et Cataldo. Pour les passionnés de culture, laissez-vous tenter par un hébergement de vacances à Lecce pour visiter l'un des nombreux musées de la nhRNmja. Catacombes de San Gennaro © dudlajzov - Naples, sa baie, son Vésuve, ses palais baroques décatis, sa pizza et le spectacle de ses rues vibrionnantes… OK, on connaît ! Mais sa face souterraine et obscure entre tunnels secrets, catacombes, vestiges enfouis et cimetières insolites reste encore à découvrir. Gros plan sur une Naples insolite et underground, résolument hors des sentiers battus. Sommaire Sous les pavés, les souterrains de Naples Les catacombes de Naples Christ voilé et tombe de Dracula Fiche pratique Sous les pavés, les souterrains de Naples Véhicules - tunnel borbonico © FPWing - Quoi de mieux que les sous-sols pour fuir le soleil de plomb ? Sous ses fondations, caché dans sa tripaille, un labyrinthe de tunnels et de souterrains lacère Naples. Inquiet du caractère belliqueux des Napolitains à une période 1853 où l’unité de l’Italie était encore un vœu pieux et les émeutes légions, Ferdinand II de Bourbon a eu l’idée folle de creuser un tunnel 440 m entre le palais royal et les casernes militaires via Pace, aujourd’hui via Domenico Morelli. Son objectif faciliter l’évacuation de la famille royale et des potentats locaux tout autant que l’intervention des troupes royales. Le tunnel borbonico, aussi appelé Galleria Borbonica 10 € pour le tour standard, plusieurs parcours possibles, était né ou plutôt mort-né. On vous passe les difficultés d’ingénierie à 25 m sous terre, le réservoir d’eau qu’il a fallu scinder en deux et l’ambition du projet qui devait permettre le passage des calèches, accueillir des commerces et qui sera abandonné avant d’être complètement achevé. Reste que cet ouvrage n’a pas été totalement inutile puisque ces excavations servirent d’abris anti-aériens en 39-45 entre 5 000 et 10 000 Napolitains y circulèrent et de dépôt de véhicules confisqués par la police jusqu’aux années 1970 certains sont encore visibles. Napoli sotterranea © frenk58 - Que trouve-t-on sous les petons de Naples ? Du tuf, une roche volcanique poreuse et jaunâtre que les Grecs travaillèrent dès l’Antiquité pour construire la ville 5e s av. même si on peut remonter ses origines à la fondation de Parthénope au 11e s av. et buriner un réseau d’alimentation en eau. Aussi, les sous-sols de la cité se trouvent hachés de corridors et de trouées suite aux extractions du tuf qui servirent de réservoirs d’eau jusqu’au 19e s. Géré par une association, Napoli sotterranea 10 € vous fait descendre 136 marches ça tourne et 40 m sous Naples… pour remonter ces 2 400 ans d’histoire et vous balader parmi les vestiges de l’ancien aqueduc gréco-romain, mais aussi les sanitaires et le système électrique datant de la Seconde Guerre mondiale. En effet, comme leur voisin bourbon, ces souterrains servirent d’abris pour la population qui n’avait que huit minutes entre le retentissement de la sirène et les bombardements pour les rejoindre. Malgré l’humidité taux de 95 %, plusieurs graffitis visages de femmes, de Mussolini, verre à pied, avion militaire de cette période ont tenu. Lors de la reconstruction de la ville, les gravats ont été entassés dans ces galeries. Aujourd’hui 9 % ont été dégagés et seulement 3 % se visitent. Si vous les enchaînez, ces deux parcours tunnel et Naples souterrain peuvent être quelque peu redondants, quoique complémentaires. Les catacombes de Naples Catacombes de San Gennaro © Rosen - Bien moins crâneuses que ses comparses parisiennes, les catacombes de San Gennaro 9 € ressemblent plus, grâce notamment à ce tuf qui leur donne d’apaisantes teintes ambrées, à un cimetière enterré qu’à un flippant ossuaire. Point ici de tibias ni de cubitus amoncelés, mais près de 2 000 niches mortuaires et 500 arcosolia niches semi-circulaires. Ses premières tombes datent du 2e s de notre ère avant son extension progressive au 4e s qui coïncide avec le dépôt des restes de Sant’Agrippino, le premier patron de Naples, puis de ceux de San Gennaro Saint Janvier. Sachez que le sang de saint Janvier, contenu dans deux ampoules, est exhibé trois fois par an dans la cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption de Naples duomo. S’il se liquéfie, le miracle de saint Janvier s’accomplit, la ville peut dormir sur ses deux oreilles. En revanche, s’il reste à l’état solide ou tarde à se liquéfier, malheur aux Napolitains ! Cimetière delle Fontanelle © monika_sakowska - C’est dans les catacombes de San Gennaro que furent enterrés les premiers évêques de Naples. Quelques fresques celle du paon entre autres sont particulièrement bien conservées. À découvrir, pas très loin, les catacombes de San Gaudioso 9 €, ses fresques toujours et ses étranges scolatoi » qui compactaient en position assise les défunts et permettaient de récupérer leurs fluides corporels. Tant qu’à être au nord de la ville, descendez légèrement côté sud-ouest par le cimetière delle Fontanelle si les travaux de renforcement des voûtes sont terminés. Occupant un gouffre provoqué par une coulée de boue au 16e s, cet ossuaire a quelque chose de grandiose dans sa statuaire et ces hautes percées dans le tuf malgré les crânes entassés ou serrés dans de petites boites les scarabattola. Longtemps destiné aux seuls cadavres des Napolitains les moins aisés, à l’abandon jusqu’en 1872, le cimetière Fontanelle est à l’origine de nombreux cultes et légendes. Christ voilé et tombe de Dracula Eglise de Santa Luciella Ai Librai © Florent Oumehdi Naples est réputée pour ses églises incontournables, le Duomo, les basiliques de San Francesco di Paola et de Santa Chiara et son cloître à piliers profus en majoliques, 6 €, l’église du Gesù Nuovo avec sa façade en pointe-de-diamant et la chapelle Sansevero qui accueille le languide cristo velato de Giuseppe Sanmartino 8 €, réservation indispensable sous peine de longue attente. Toutefois, d’autres édifices religieux tirent leur épingle du jeu, d’une manière plutôt morbide et non dénuée de superstitions. Fondée par le juriste Bartolomeo di Capua en 1327, l’église de Santa Luciella Ai Librai 5 € était abandonnée depuis 30 ans une voiture en barrait même l’accès lorsqu’en 2013, l’association culturelle Respiriamo Arte s’est mis dans la tête de la restaurer pour l’ouvrir au public. À l’intérieur, ils ont trouvé, parmi les vieilles cannettes de Coca-Cola et autres artefacts de la société de consommation, des habits religieux, des ex-voto de paires d’yeux offrande typique à sainte Lucie et, surtout, sous l’église, un crâne d’où pointent deux oreilles au creux desquelles les Napolitains venaient chuchoter leurs prières au début du 20e s. Il se disait, en effet, que le crâne, tout ouïe, pouvait transmettre des messages dans le royaume des morts. Aujourd’hui encore, nombreux sont les visiteurs qui écrivent leurs requêtes sur un petit papier et les déposent près du crâne aux oreilles. Tombe de Dracula © Florent Oumehdi L'église baroque Sainte-Marie-des-Âmes-du-Purgatoire au sein du complesso museale Santa Maria delle Anime del Purgatorio ad Arco, 6 € et son hypogée église souterraine ont longtemps été des incontournables pour les adeptes du culte delle Anime Pezzentelle, né au 17e s après une série de calamités émeutes, grande peste de Naples de 1656…. Les morts étant plus nombreux que la capacité d’accueil des églises, les cadavres furent entassés sans inhumation au cimetière Fontanelle, mais également dans certains hypogées, dont celui de l’église Sainte-Marie-des-Âmes-du-Purgatoire surprenant avec ses petits autels et ses crânes décorés de dentelle. Les âmes des défunts anonymes ne pouvant regagner le paradis, il était alors d’usage que des femmes adoptent » des crânes, les prient, les bichonnent en échange de quoi elles intercéderaient en leur faveur dans l’au-delà. Très populaire, cette pratique a été condamnée par le cardinal Corrado Ursi en 1969. Elle n’aurait pas totalement disparu. Ne manquez pas le musée et le crâne ailé en marbre de Dionisio Lazzari dans l’église. La nouvelle est tombée en 2014. Vlad Tepes ou Vlad III l’Empaleur, nom fort engageant, le même qui aurait inspiré à Bram Stoker son Dracula, serait enterré à Naples, non loin du fameux couvent de Santa Chiara, au complesso monumentale di Santa Maria la Nova 5 €, au côté de sa fille. Une étudiante, intriguée par les bas-reliefs symboliques d’une tombe un dragon et deux sphinx qui, dans un rébus d’initié, se traduiraient par Dracula de Thèbes », l’un des noms de notre bon vieux Vlad, aurait ainsi levé le voile sur la dernière demeure de la star des suceurs de sang. Exposée dans le cloître jolies voûtes peintes et fresques sur la vie de saint Jacques de la Marche, la tombe n’est pas la seule attraction de ce complexe. Aussi, n’oubliez pas d’aller faire un tour dans l’église et de contempler la chapelle de saint Jacques de la Marche, qui se passe bien de Dracula... Fiche pratique Retrouvez tous les bons plans, adresses et infos utiles dans le Routard Naples et le Routard Italie du Sud en librairie Consulter notre guide en ligne Naples Vols quotidiens directs vers Naples avec Air France, EasyJet depuis Paris-CDG et Orly ; en correspondance depuis d’autres aéroports français. Trouvez votre billet d’avion. Réservez votre hôtel à Naples Où manger ? Osteria della Mattonella via Giovanni Nicotera, 13, 80132 Napoli. Affaire de famille depuis 1978. Antionetta, qui a repris, avec ses deux enfants, le flambeau de son mari décédé, sert toujours en salle, affublée de son atemporelle tunique rouge à col Claudine. Aux murs, de la faïence bleue. Dans les assiettes, une cuisine napolitaine appétissante et généreuse. Service un poil fresco mais quand la qualité est au rendez-vous, on pardonne tout. Osteria Napulion via Giovanni Nicotera, 42, 80132 Napoli. Perchée en haut d’une rue plutôt raidasse, l’osteria Napulion se mérite. Effort, apéritif, puis réconfort. Du poulpe, des sardines grillées, des paccheri maison pâtes cylindriques al dente, le tout à des prix très attractifs. Alors on ose la totale antipasti, primi, secondi, contorni, dolce ! Galleria Borbonica vico del Grottone, 4, 80132 Napoli Napoli sotterranea vico S. Anna di Palazzo, 52, 80132 Napoli Catacombes de San Gennaro via Tondo di Capodimonte, 13, 80136 Napoli Catacombes de San Gaudioso basilica Santa Maria della, Piazza Sanità, 14, 80136 Napoli Cimitero delle Fontanelle via Fontanelle, 80, 80136 Napoli Duomo via Duomo, 147, 80138 Napoli Basilique San Francesco di Paola piazza del Plebiscito, 80132 Napoli Basilique de Santa Chiara 49/c, via Santa Chiara, 49/C, 80134 Napoli Église du Gesù Nuovo piazza del Gesù Nuovo, 2, 80134 Napoli Chapelle Sansevero via Francesco de Sanctis, 19/21, 80134 Napoli Église de Santa Luciella Ai Librai vico Santa Luciella, 5, 80138 Napoli Complesso museale Santa Maria delle Anime del Purgatorio ad Arco via Tribunali, 39, 80138 Napoli Complesso monumentale di Santa Maria la Nova via Santa Maria la Nova, 44, 80134 Napoli Texte Florent Oumehdi Mise en ligne le 4 janvier 2022 Sacré et Profane La dévotion des Napolitains tant aux saints qu’aux anciennes traditions liées à la superstition et au culte des morts est mondialement connue. En se promenant dans la ville aux cinq cents dômes » comme on a appelé Naples – approximativement le nombre de ses églises, on peut apprécier ces deux aspects. L’ÉGLISE SAN FRANCESCO DI PAOLA Encadrant l’énorme Piazza del Plebiscito avec sa majestueuse et célèbre colonnade, cette église néoclassique évoque le Panthéon de Rome, tant sur la façade qu’à l’intérieur. Cette imposante église du XIXe siècle, avec son tympan sur colonnes ioniques, ses trois hautes coupoles et son plan circulaire, est l’un des sites les plus populaires et les plus visités de la ville. L’église est surmontée de trois coupoles celle du centre, haute de 53 mètres, a été construite sur un tambour haut et large. Cette église monumentale est caractérisée par une façade rustique avec des pierres piperno à pointe de diamant, un des rares cas en Italie, et par son riche mobilier intérieur qui représente un des exemples les plus précieux du baroque napolitain. Une caractéristique unique de l’église est la présence d’une bombe miraculeusement non explosée datant de la Seconde Guerre mondiale et désormais exposée au public. ÉGLISE ET CLOÎTRE DE SANTA CHIARA Dans la rue pittoresque connue sous le nom de Spaccanapoli, se dresse le complexe de Santa Chiara qui, avec sa basilique, ses cloîtres monumentaux, ses fouilles archéologiques et le Museo dell’Opera avec une partie des fresques de Giotto, est un incontournable de la ville. Le célèbre cloître, avec ses merveilleuses tuiles en majolique du XVIIIe siècle, ses fresques baroques et son architecture intérieure, est l’un des joyaux cachés les plus précieux de la ville. La cathédrale de Naples est un véritable chef-d’œuvre monumental qui attend d’être découvert. Lieu de la fonte miraculeuse du sang de San Gennaro, elle se distingue sur la Via Duomo par sa très haute façade néogothique d’environ 50 mètres de haut. L’intérieur, riche et somptueux, présente une variété de styles, dominée par le baroque, et comporte des chefs-d’œuvre de grands artistes. On peut accéder à la chapelle du Trésor de San Gennaro à partir de l’allée droite de la cathédrale, qui abrite le sang du saint patron de Naples, et constitue un joyau de l’art et de l’architecture mondiale. ÉGLISE ET MONASTÈRE CHARTREUX DE SAN MARTINO En s’éloignant de la vieille ville, ce complexe monumental, situé au sommet de la colline panoramique de Vomero, est l’un des plus beaux endroits de Naples. Il a été érigé en 1325 sur l’ordre de Charles d’Anjou, qui le voulait en position dominante dans la ville. Elle est l’un des meilleurs exemples d’architecture baroque et compte une centaine de pièces, deux églises, une cour, quatre chapelles, trois cloîtres et des jardins suspendus. Chronologiquement, c’est le deuxième monastère chartreux de Campanie, ayant été fondé dix-neuf ans après celui de San Lorenzo à Padoue et quarante-six ans avant celui de San Giacomo à Capri COMPLEXE DE SAN DOMENICO MAGGIORE L’église, avec son complexe religieux du même nom, est l’une des plus grandes de Naples, si l’on considère l’ensemble de la basilique et du couvent. Elle a été construite par Charles d’Anjou en 1283 et mérite une visite pour sa beauté monumentale. De conception gothique avec des interventions baroques, elle a abrité et continue d’abriter d’importantes œuvres d’art par exemple, c’est dans cette église que se trouvait à l’origine la Flagellation du Christ de Caravaggio, aujourd’hui au musée de Capodimonte. CIMETIÈRE DES FONTANELLES Le cimetière de Fontanelle est un site unique au monde. Ancien ossuaire de plus de 3 000 mètres carrés, il contient les restes d’un nombre inconnu de personnes. Il est situé à Sanità, l’une des zones les plus riches de Naples en termes d’histoire et de tradition. Le cimetière est remarquable car c’est ici qu’est né le rituel de l’anime pezzentelle », c’est-à-dire l’adoption et le soin par un Napolitain d’un crâne spécifique d’une âme abandonnée en échange de sa protection. Chaque recoin du cimetière de la Fontanelle regorge d’histoire, d’anecdotes, de légendes et de curiosités qui ne demandent qu’à être découvertes. CATACOMBES DE SAN GENNARO Il s’agit d’anciens cimetières souterrains qui remontent aux IIe et IIIe siècles et qui représentent le monument le plus important du christianisme à Naples. L’entrée des catacombes se trouve actuellement près de l’église de l’Incoronata à Capodimonte et, avec le Miglio Sacro, c’est une surprenante promenade dans le temps, la première sépulture de San Gennaro, un lieu pour découvrir des histoires, de l’architecture et des fresques. En traversant la colline de tuf, notre visite se termine dans l’ancien Rione Sanità, aujourd’hui réaménagé grâce aux jeunes du quartier, qui soutiennent fortement ce parcours touristique et culturel depuis 2006. La dévotion des Napolitains tant aux saints qu’aux anciennes traditions liées à la superstition et au culte des morts est mondialement connue. En se promenant dans la ville aux cinq cents dômes » comme on a appelé Naples – approximativement le nombre de ses églises, on peut apprécier ces deux aspects. L’ÉGLISE SAN FRANCESCO DI PAOLA Encadrant l’énorme Piazza del Plebiscito avec sa majestueuse et célèbre colonnade, cette église néoclassique évoque le Panthéon de Rome, tant sur la façade qu’à l’intérieur. Cette imposante église du XIXe siècle, avec son tympan sur colonnes ioniques, ses trois hautes coupoles et son plan circulaire, est l’un des sites les plus populaires et les plus visités de la ville. L’église est surmontée de trois coupoles celle du centre, haute de 53 mètres, a été construite sur un tambour haut et large. Cette église monumentale est caractérisée par une façade rustique avec des pierres piperno à pointe de diamant, un des rares cas en Italie, et par son riche mobilier intérieur qui représente un des exemples les plus précieux du baroque napolitain. Une caractéristique unique de l’église est la présence d’une bombe miraculeusement non explosée datant de la Seconde Guerre mondiale et désormais exposée au public. ÉGLISE ET CLOÎTRE DE SANTA CHIARA Dans la rue pittoresque connue sous le nom de Spaccanapoli, se dresse le complexe de Santa Chiara qui, avec sa basilique, ses cloîtres monumentaux, ses fouilles archéologiques et le Museo dell’Opera avec une partie des fresques de Giotto, est un incontournable de la ville. Le célèbre cloître, avec ses merveilleuses tuiles en majolique du XVIIIe siècle, ses fresques baroques et son architecture intérieure, est l’un des joyaux cachés les plus précieux de la ville. La cathédrale de Naples est un véritable chef-d’œuvre monumental qui attend d’être découvert. Lieu de la fonte miraculeuse du sang de San Gennaro, elle se distingue sur la Via Duomo par sa très haute façade néogothique d’environ 50 mètres de haut. L’intérieur, riche et somptueux, présente une variété de styles, dominée par le baroque, et comporte des chefs-d’œuvre de grands artistes. On peut accéder à la chapelle du Trésor de San Gennaro à partir de l’allée droite de la cathédrale, qui abrite le sang du saint patron de Naples, et constitue un joyau de l’art et de l’architecture mondiale. ÉGLISE ET MONASTÈRE CHARTREUX DE SAN MARTINO En s’éloignant de la vieille ville, ce complexe monumental, situé au sommet de la colline panoramique de Vomero, est l’un des plus beaux endroits de Naples. Il a été érigé en 1325 sur l’ordre de Charles d’Anjou, qui le voulait en position dominante dans la ville. Elle est l’un des meilleurs exemples d’architecture baroque et compte une centaine de pièces, deux églises, une cour, quatre chapelles, trois cloîtres et des jardins suspendus. Chronologiquement, c’est le deuxième monastère chartreux de Campanie, ayant été fondé dix-neuf ans après celui de San Lorenzo à Padoue et quarante-six ans avant celui de San Giacomo à Capri. COMPLEXE DE SAN DOMENICO MAGGIORE L’église, avec son complexe religieux du même nom, est l’une des plus grandes de Naples, si l’on considère l’ensemble de la basilique et du couvent. Elle a été construite par Charles d’Anjou en 1283 et mérite une visite pour sa beauté monumentale. De conception gothique avec des interventions baroques, elle a abrité et continue d’abriter d’importantes œuvres d’art par exemple, c’est dans cette église que se trouvait à l’origine la Flagellation du Christ de Caravaggio, aujourd’hui au musée de Capodimonte. CIMETIÈRE DES FONTANELLES Le cimetière de Fontanelle est un site unique au monde. Ancien ossuaire de plus de 3 000 mètres carrés, il contient les restes d’un nombre inconnu de personnes. Il est situé à Sanità, l’une des zones les plus riches de Naples en termes d’histoire et de tradition. Le cimetière est remarquable car c’est ici qu’est né le rituel de l’anime pezzentelle », c’est-à-dire l’adoption et le soin par un Napolitain d’un crâne spécifique d’une âme abandonnée en échange de sa protection. Chaque recoin du cimetière de la Fontanelle regorge d’histoire, d’anecdotes, de légendes et de curiosités qui ne demandent qu’à être découvertes. CATACOMBES DE SAN GENNARO Il s’agit d’anciens cimetières souterrains qui remontent aux IIe et IIIe siècles et qui représentent le monument le plus important du christianisme à Naples. L’entrée des catacombes se trouve actuellement près de l’église de l’Incoronata à Capodimonte et, avec le Miglio Sacro, c’est une surprenante promenade dans le temps, la première sépulture de San Gennaro, un lieu pour découvrir des histoires, de l’architecture et des fresques. En traversant la colline de tuf, notre visite se termine dans l’ancien Rione Sanità, aujourd’hui réaménagé grâce aux jeunes du quartier, qui soutiennent fortement ce parcours touristique et culturel depuis 2006. La dévotion des Napolitains tant aux saints qu’aux anciennes traditions liées à la superstition et au culte des morts est mondialement connue. En se promenant dans la ville aux cinq cents dômes » comme on a appelé Naples – approximativement le nombre de ses églises, on peut apprécier ces deux aspects. L’ÉGLISE SAN FRANCESCO DI PAOLA Encadrant l’énorme Piazza del Plebiscito avec sa majestueuse et célèbre colonnade, cette église néoclassique évoque le Panthéon de Rome, tant sur la façade qu’à l’intérieur. Cette imposante église du XIXe siècle, avec son tympan sur colonnes ioniques, ses trois hautes coupoles et son plan circulaire, est l’un des sites les plus populaires et les plus visités de la ville. L’église est surmontée de trois coupoles celle du centre, haute de 53 mètres, a été construite sur un tambour haut et large. Cette église monumentale est caractérisée par une façade rustique avec des pierres piperno à pointe de diamant, un des rares cas en Italie, et par son riche mobilier intérieur qui représente un des exemples les plus précieux du baroque napolitain. Une caractéristique unique de l’église est la présence d’une bombe miraculeusement non explosée datant de la Seconde Guerre mondiale et désormais exposée au public. ÉGLISE ET CLOÎTRE DE SANTA CHIARA Dans la rue pittoresque connue sous le nom de Spaccanapoli, se dresse le complexe de Santa Chiara qui, avec sa basilique, ses cloîtres monumentaux, ses fouilles archéologiques et le Museo dell’Opera avec une partie des fresques de Giotto, est un incontournable de la ville. Le célèbre cloître, avec ses merveilleuses tuiles en majolique du XVIIIe siècle, ses fresques baroques et son architecture intérieure, est l’un des joyaux cachés les plus précieux de la ville. La cathédrale de Naples est un véritable chef-d’œuvre monumental qui attend d’être découvert. Lieu de la fonte miraculeuse du sang de San Gennaro, elle se distingue sur la Via Duomo par sa très haute façade néogothique d’environ 50 mètres de haut. L’intérieur, riche et somptueux, présente une variété de styles, dominée par le baroque, et comporte des chefs-d’œuvre de grands artistes. On peut accéder à la chapelle du Trésor de San Gennaro à partir de l’allée droite de la cathédrale, qui abrite le sang du saint patron de Naples, et constitue un joyau de l’art et de l’architecture mondiale. ÉGLISE ET MONASTÈRE CHARTREUX DE SAN MARTINO En s’éloignant de la vieille ville, ce complexe monumental, situé au sommet de la colline panoramique de Vomero, est l’un des plus beaux endroits de Naples. Il a été érigé en 1325 sur l’ordre de Charles d’Anjou, qui le voulait en position dominante dans la ville. Elle est l’un des meilleurs exemples d’architecture baroque et compte une centaine de pièces, deux églises, une cour, quatre chapelles, trois cloîtres et des jardins suspendus. Chronologiquement, c’est le deuxième monastère chartreux de Campanie, ayant été fondé dix-neuf ans après celui de San Lorenzo à Padoue et quarante-six ans avant celui de San Giacomo à Capri. COMPLEXE DE SAN DOMENICO MAGGIORE L’église, avec son complexe religieux du même nom, est l’une des plus grandes de Naples, si l’on considère l’ensemble de la basilique et du couvent. Elle a été construite par Charles d’Anjou en 1283 et mérite une visite pour sa beauté monumentale. De conception gothique avec des interventions baroques, elle a abrité et continue d’abriter d’importantes œuvres d’art par exemple, c’est dans cette église que se trouvait à l’origine la Flagellation du Christ de Caravaggio, aujourd’hui au musée de Capodimonte. CIMETIÈRE DES FONTANELLES Le cimetière de Fontanelle est un site unique au monde. Ancien ossuaire de plus de 3 000 mètres carrés, il contient les restes d’un nombre inconnu de personnes. Il est situé à Sanità, l’une des zones les plus riches de Naples en termes d’histoire et de tradition. Le cimetière est remarquable car c’est ici qu’est né le rituel de l’anime pezzentelle », c’est-à-dire l’adoption et le soin par un Napolitain d’un crâne spécifique d’une âme abandonnée en échange de sa protection. Chaque recoin du cimetière de la Fontanelle regorge d’histoire, d’anecdotes, de légendes et de curiosités qui ne demandent qu’à être découvertes. CATACOMBES DE SAN GENNARO Il s’agit d’anciens cimetières souterrains qui remontent aux IIe et IIIe siècles et qui représentent le monument le plus important du christianisme à Naples. L’entrée des catacombes se trouve actuellement près de l’église de l’Incoronata à Capodimonte et, avec le Miglio Sacro, c’est une surprenante promenade dans le temps, la première sépulture de San Gennaro, un lieu pour découvrir des histoires, de l’architecture et des fresques. En traversant la colline de tuf, notre visite se termine dans l’ancien Rione Sanità, aujourd’hui réaménagé grâce aux jeunes du quartier, qui soutiennent fortement ce parcours touristique et culturel depuis 2006. C’est en train que nous quittons Florence pour Assise. Le temps humide ne permet pas d’admirer le paysage durant le voyage. Mais à peine installées à l’hôtel, nous voici dans la navette menant vers la ville haute, dominée par un château fort. La ville haute. Assise – Première vue de la basilique Saint François La basilique. Une place entourée de portiques, à la manière du forum romain, nous conduit à l’église inférieure, devant un portail gothique à deux portes surmonté de rosaces. L’église inférieure. Les fresques. En ressortant, notre regard se perd dans la campagne d’Ombrie et, en bas, on distingue la ville basse de Santa Maria degli Angeli. La campagne ombrienne. L’ensemble de la ville haute présente une grande unité de style. Après ce premier contact avec Assise, retour dans la ville basse pour une dînette et une bonne nuit de sommeil. Le lendemain matin, près de la basilique de Santa Maria degli Angeli, la navette nous remonte vers la ville haute. La basilique de Santa Maria degli Angeli. Le ciel est lumineux et la vue dégagée sur la campagne où villages et hameaux s’éparpillent au milieu des cultures. La campagne vue de la ville haute. De là-haut, la basilique de la ville basse semble veiller sur son petit troupeau de maisons. La basilique de Santa Maria degli Angeli, vue de la ville haute. Et les oliviers centenaires tordent leurs bras gris le long de la pente. Les oliviers centenaires. La place aux arcades est baignée de soleil… La place aux arcades. Et le portail gothique à double entrée s’ouvre devant nous. Le portail gothique. Dans les deux églises superposées, silence, sérénité, méditation, mais pas de photos… Ici, Saint François est partout dans l’esprit des pèlerins et des visiteurs, sur les murs et les voûtes les magnifiques fresques de Giotto dans la basilique supérieure nous racontent de nombreux épisodes de sa vie, et naturellement dans la crypte où se trouve son tombeau. De là-haut, nous avons une vue plongeante sur le cloître du Sacro Convento. Le cloître du Sacro Convento. Vers midi, nous découvrons un petit restaurant d’où l’on a une vue directe sur l’église supérieure. L’église supérieure vue du restaurant. Cet établissement est rempli de gallinacés et de lapins à bicyclette et on y mange très bien. Quelques gallinacés… Cet après-midi, balade en ville nous remontons la rue…San Francesco, naturellement! Devant l’oratoire des pèlerins, se dresse un étrange cavalier, bien fatigué sur sa blanche monture! Le cavalier et sa monture. Plus loin, une échappée sur la campagne s’ouvre à travers une arcade. Au bout d’une ruelle en pente, on découvre une tour crénelée. Les magasins nous offrent mille tentations charcutières et fromagères… Du fromage. Spécialités charcutières. Des pâtes sous toutes les formes, de l’huile d’olive, du vinaigre balsamique, du vin local, et quantité de pâtisseries ou d’objets en cuir… En chemin, nous rencontrons aussi Pinocchio et son papa Gepetto. Pinocchio et son papa. Nous voici devant le palazzo del Capitano del Popolo, juste à côté du temple de Minerve, à l’architecture romaine très caractéristique. Drapeaux et bannières ornent ce bâtiment. Le palazzo et le temple de Minerve. Sur la place, s’élève une fontaine et un carrousel attend les jeunes clients. La fontaine. Un peu plus loin, nous entrons dans la cathédrale San Rufino. La cathédrale. Les rues sont encore encombrées d’étranges machines, car la veille, une fête a eu lieu ici. La visite se poursuit par la maison de Saint François. On peut remarquer la porte sculptée et l’endroit où son père le retint prisonnier. Saint François emprisonné. La porte. Puis voici la basilique de Santa Chiara, Sainte Claire d’Assise, qui a suivi les enseignements de Saint François et a fondé l’ordre des Clarisses. La basilique de Santa Chiara. À l’intérieur, se trouve le crucifix qui parla à Saint François, lui commandant de réparer la chapelle de San Damiano. C’est aussi là que se trouve la châsse de Sainte Claire. La châsse. Et tout là-haut, dominant la ville, le château de la Rocca Maggiore. Le château de la Rocca Maggiore. Encore un regard sur le campanile de Santa Maria Maggiore et sur l’abbatiale Saint Pierre au portail abondamment sculpté, avant de redescendre vers Santa Maria degli Angeli. S. Maria Maggiore. Mardi matin, il faut rentrer. Petit déjeuner en compagnie de l’équipe de foot junior de Roumanie. Mais la pluie est revenue, et c’est dans la brume que nous regardons pour la dernière fois la ville haute d’Assise … Dernière vision d’Assise. et la si belle basilique de Saint François… Dernier regard sur la basilique de Saint François. À la gare d’Assise, nous reprenons le train pour Florence, son aéroport, et la France. Au revoir, Toscane. Je reviendrai sûrement, car j’ai eu la précaution de frotter le nez du petit sanglier de la place du marché, à Florence. Alors !!! revoir Dimanche 28 avril contact avec Florence Florence, ville d’art et d’histoire Le David de Michel-Ange Balade à Sienne La piazza dei Miracoli à Pise À Lucques San Gimignano, la ville aux belles tours À Volterra Sur les bords de l’Arno À Fiesole Créez votre guide personnelle de la ville... ... et téléchargez-le sur votre mobile ou imprimez-le! Inspirez-vous... ... consultez nos guides présentés par les locaux! Trouvez des inspirations thématiques et ajoutez-les à votre guide! 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cloître de la basilique santa chiara