đ L Ombre D Un Doute Robespierre
Touta commencĂ© au dĂ©but de lâannĂ©e 1793. La RĂ©publique fĂȘte son premier anniversaire dans un climat de grande instabilitĂ©. A lâextĂ©rieur, les monarchies europĂ©ennes menacent les frontiĂšres. A lâintĂ©rieur, les troubles se multiplient. Des paysans déçus par la RĂ©volution se soulĂšvent, tout particuliĂšrement en VendĂ©e Militaire, une rĂ©gion qui regroupe tout le Centre Ouest
Vousavez sans aucun doute vu ce film. Il raconte l'histoire d'un de ces jours qui ont fait basculer l'issue de la Seconde Guerre mondiale. Mais savez-vous, bien qu'éloigné de 250 kilomÚtres, que le département avait joué un rÎle dans cet événement ? Entre la réalité du terrain et les approximations du scénario du film, il est temps de découvrir ce qui a pu se passer dans l'Oise
Lémission déjà diffusée en janvier dernier, n'avait pas provoqué à l'époque de polémique."L'ombre d'un doute", à l'antenne depuis septembre devrait disparaßtre des grilles de France 3
RegarderL'ombre d'un doute saison 1 en streaming. En ce moment, vous pouvez regarder "L'ombre d'un doute - Saison 1" en streaming sur Canal+, Salto Amazon Channel.
HenriIV meurt le 14 mai 1610 sous les coups de François Ravaillac, un fanatique catholique. Il est rapidement jugĂ© et exĂ©cutĂ© et lâon sâest bien gardĂ© lors du procĂšs devant le Parlement de Paris dâĂ©voquer un possible commanditaire du crime. Et pourtant. La liste est longue de tous ceux qui avaient des raisons dâespĂ©rer ou de hĂąter la mort du roi. TrĂšs vite dans Paris, des
RobespierreComment un jeune homme pauvre et solitaire, natif d'Arras, voué à l'étude et à l'admiration de Jean-Jacques Rousseau, devint avocat et se lança brusquement en politique
L'Ombre D'un Doute - Le Bourreau Robespierre - Entre 1793 et 1796, la Vendée fut le théùtre d'affrontements d'une rare violence entre des paysans insurgés et le pouvoir
LOmbre D'un Doute - Le Bourreau Robespierre. L'Ombre D'un Doute - Le Bourreau Robespierre Pour commencer à créer votre page, cliquez ici et. entrez votre texte. Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note ! Ajouter un commentaire. Nom. E-mail. Site Internet . Message. Aperçu. Anti-spam . Ajouter. Formation
Enmars 2012, France 3 consacrait un numĂ©ro de sa sĂ©rie « Lâombre dâun doute » Ă la question suivante : « Robespierre, bourreau de la VendĂ©e ? » Le documentaire, racontĂ© par Franck Ferrand, Ă©tait destinĂ© Ă mettre en valeur les thĂšses de Reynald Secher sur le « gĂ©nocide vendĂ©en ».
CommuniquĂ©de la SociĂ©tĂ© des Ă©tudes robespierristes du 22 mars 2012 : Par le communiquĂ© suivant, la SociĂ©tĂ© des Ă©tudes robespierristes condamne lâentreprise de dĂ©sinformation historique menĂ©e dans le cadre de lâĂ©mission « Lâombre dâun doute », diffusĂ©e le 7 mars dernier sur France 3 et titrĂ©e « Robespierre : bourreau de
Leconseil municipal de Paris des 12-15 juin, celui qui se prononcera sur une rue Robespierre, adoptera sans doute lâidĂ©e dâun parcours piĂ©tonnier de la RĂ©volution française dans Paris, qui raviverait la mĂ©moire des lieux, des hommes et des principes rĂ©publicains. La proposition relĂšve Ă la fois dâune dĂ©marche citoyenne
Obtenezle livre Le porteur de mort de Paul Doherty au format ePub sur E.Leclerc.
RésuméEntre 1793 et 1796, la Vendée fut le théùtre d'affrontements d'une rare violence entre des paysans insurgés et le pouvoir révolutionnaire dirigé par Robespierre. 170 000 Vendéens furent
Lombre d'un doute Robespierre : bourreau de la Vendée ? Afficher le diaporama Magazine Année de production 2012 Voir tous les épisodes Entre 1793 et 1796, la Vendée fut le théùtre
Entre1793 et 1796, la Vendée fut le théùtre d'affrontements d'une rare violence entre des paysans insurgés et le pouvoir révolutionnaire, en particulier lors de l'envoi des colonnes infernales en 1794. Massacre de patriotes, massacres de royalistes : 170 000 Vendéens périrent. En 1794, Robespierre est exécuté, et la situation commence
PKioJPk. Ă paraĂźtre le 1 septembre 2022 disponible dĂšs le 1 septembre 2022 disponible dĂšs le 1 septembre 2022 RĂ©sumĂ© DĂ©tails CompatibilitĂ© Autres formats Janvier 1304, Hugh Corbett, envoyĂ© par le roi, parcourt l'Essex afin de rĂ©cupĂ©rer un trĂ©sor inestimable dĂ©robĂ© aux Templiers. Mais la situation qu'il dĂ©couvre est effrayante. Un mystĂ©rieux archer lance ses flĂšches empoisonnĂ©es au hasard sur les villageois, rĂ©veillant chez chacun les douloureuses plaies d'un passĂ© noir comme les larmes du Christ... " L'art de la narration de l'auteur et les aventures de MaĂźtre Hugh Corbett constituent l'un des fleurons du roman policier historique actuel. " Traduit de l'anglais par Christiane Poussier et Nelly Markovic Lire plusexpand_more Titre Le porteur de mort EAN 9782823886870 Ăditeur Univers Poche Date de parution 01/09/2022 Format ePub Poids du fichier kb Protection Filigrane numĂ©rique L'ebook Le porteur de mort est au format ePub protĂ©gĂ© par Filigrane numĂ©rique check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur application iOs et Android Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur My Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur le lecteur Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur liseuse.
PubliĂ© le 06/02/2015 S'il existe encore un doute sur la culpabilitĂ© du Dr Petiot, guillotinĂ© en mai 1946, cela ne concerne guĂšre que le nombre exact de ses victimes. En mars 1944, vingt-sept corps en morceaux, partiellement brĂ»lĂ©s, furent retrouvĂ©s dans son hĂŽtel particulier de la rue Le Sueur. Lors de son procĂšs, il revendiqua soixant-trois assassinats comme autant de faits de rĂ©sistance, expliquant qu'il s'agissait d'Allemands et de collaborateurs. La rĂ©alitĂ© Ă©tait plus sordide. Petiot prĂ©tendait faire passer en Argentine des Juifs persĂ©cutĂ©s et des truands en dĂ©licatesse avec la Gestapo. En pratique, il les tuait, volait leurs objets de valeur, et dĂ©truisait les corps. Tout en retraçant la trajectoire horrible et rocambolesque de Marcel Petiot, la rĂ©alisatrice s'attarde sur l'Ă©poque qui lui a permis de sĂ©vir pendant plusieurs annĂ©es, et d'Ă©chapper un temps Ă la justice aprĂšs la dĂ©couverte de ses crimes. Pas d'endroit plus propice, pour un tueur en sĂ©rie, que ce Paris occupĂ© puis libĂ©rĂ© dans un chaos indescriptible, oĂč se diluaient les identitĂ©s, les responsabilitĂ©s et les repĂšres moraux. Parce que l'histoire qui nous est racontĂ©e est effectivement fascinante, parce que les derniers tĂ©moins apportent des respirations bienvenues, on tient bon malgrĂ© un montage sensationnaliste, qui rabĂąche les mĂȘmes archives photographiques, rĂ©pĂšte Ă l'Ă©cran ce que dit dĂ©jĂ le commentaire, et remplit les vides avec des images-prĂ©textes d'enseignes ou de plaques de rue. â Sophie Bourdais Paiement sĂ©curisĂ© Sans engagement DĂ©sabonnement simple DĂ©jĂ abonnĂ© ? Je me connecte DĂ©couvrir toutes nos offres RĂ©sumĂ© La dĂ©couverte, le 11 mars 1944, de nombreux cadavres prĂȘts Ă ĂȘtre incinĂ©rĂ©s dans la cave d'un hĂŽtel particulier parisien marque le dĂ©but d'une des plus cĂ©lĂšbres, et des plus affreuses, affaires criminelles des annĂ©es 40. Le docteur Marcel Petiot est reconnu coupable du meurtre de plus d'une vingtaine de personnes. Autres Ă©missions Le dossier secret de l'affaire Dreyfus Le 22 dĂ©cembre 1894, Alfred Dreyfus est condamnĂ© par le premier conseil de guerre de Paris. JugĂ© coupable de haute trahison, ce polytechnicien d'origine alsacienne, officier stagiaire Ă l'Ă©tat-major, est la victime d'une vaste machination. EchafaudĂ© par le ministre de la Guerre, Auguste Mercier, et par le contre-espionnage, un dossier secret » a Ă©tĂ© transmis aux juges, en toute illĂ©galitĂ©, lors du dĂ©libĂ©rĂ©. Sur la foi de ces piĂšces, constituĂ©es de faux grossiers, le tribunal dĂ©cide la dĂ©portation Ă vie de l'officier et ordonne sa dĂ©gradation publique. Les mĂ©canismes idĂ©ologiques et les prĂ©jugĂ©s antisĂ©mites qui ont conduit Ă la relĂ©gation du militaire innocent sont au coeur de cette enquĂȘte, qui expose avec habilitĂ© toutes les strates de la conspiration. Puisant dans les archives de la DĂ©fense 1 , l'Ă©mission dĂ©voile comment les tĂ©moins â tous Ă charge et haut gradĂ©s â ont multipliĂ© les fausses dĂ©clarations et les faux documents, allant jusqu'Ă mĂȘler l'accusĂ© aux libertinages de diplomates espions. CommentĂ©e par de nombreux historiens, par l'ancien garde des Sceaux Robert Badinter et par Charles Dreyfus, petit-fils du capitaine, la manipulation jette une lumiĂšre crue sur une opinion antisĂ©mite, bercĂ©e de nationalisme revanchard et apeurĂ©e par le cosmopolitisme et la dĂ©cadence. â HĂ©lĂšne Rochette 1 Depuis 2013, le Service historique de la DĂ©fense a rendu accessible en ligne la totalitĂ© des piĂšces numĂ©risĂ©es de l'affaire Dreyfus. Stalingrad les hĂ©roĂŻnes cachĂ©es de l'ArmĂ©e Rouge Les Allemands les avaient baptisĂ©es les SorciĂšres de la nuit ». A quelques mĂštres de l'avion ennemi, elles coupaient leur moteur avant de lĂącher leur bombe et de repartir dans les tĂ©nĂšbres. Ces SorciĂšres » Ă©taient des aviatrices de l'ArmĂ©e rouge, pendant la Seconde Guerre mondiale. Des femmes guerriĂšres dans l'armĂ©e russe ? Ce phĂ©nomĂšne militaire mĂ©connu, objet de lĂ©gende et de propagande, est dĂ©cortiquĂ© ici avec prĂ©cision. Entre septembre 1942 et fĂ©vrier 1943, lors de la bataille de Stalingrad, premier grand combat urbain, on compte des femmes parmi les snipers soviĂ©tiques. Pour la plupart issues des jeunesses communistes, prĂȘtes Ă dĂ©fendre leur parti et leur patrie, ces redoutables combattantes Ă©taient formĂ©es pour appuyer sur la gĂąchette. Elles se rĂ©vĂ©lĂšrent mĂȘme plus patientes, plus tenaces, plus appliquĂ©es que les hommes », rapporte un historien. Le documentaire donne la parole Ă deux de ces anciennes femmes snipers, qui, Ă prĂšs de 90 ans, arborent fiĂšrement un plastron couvert de dĂ©corations. Pourtant, pour elles, l'aprĂšs-guerre fut difficile largement exploitĂ©es par la propagande soviĂ©tique, ces soldates aux cheveux courts, femmes contre-nature », furent, Ă leur retour du front, mal acceptĂ©es par la population. Le film mĂ©lange quantitĂ© de sources d'images archives non datĂ©es, photos, illustrations animĂ©es, rendant le propos quelque peu confus. On reste cependant captivĂ© par les incroyables anecdotes entourant ces hĂ©roĂŻnes de l'ombre, racontĂ©es ici par des historiens passionnĂ©s. â Perrine Dutreil Le Louvre, palais du pouvoir Ses pierres content la mue d'un fortin mĂ©diĂ©val en palais royal. De la forteresse Ă donjon Ă©rigĂ©e par Philippe Auguste au manoir Renaissance de François Ier, les mĂ©tamorphoses du Louvre expriment la puissance monarchique. Conçu comme un bastion militaire, l'arsenal devient rĂ©sidence royale avec Charles V, au xive siĂšcle. IntĂ©grĂ©e Ă l'enceinte de la rive droite, l'ancienne caserne perd peu Ă peu sa fonction dĂ©fensive. Deux siĂšcles plus tard, Ă©paulĂ©s par l'architecte Pierre Lescot, François Ier et Henri II poursuivront les embellissements corniches, vastes baies, cariatides. AprĂšs l'ElysĂ©e, en mai dernier, L'ombre d'un doute rĂ©itĂšre l'expĂ©rience d'une premiĂšre partie de soirĂ©e consacrĂ©e Ă un haut lieu 1 . Huit siĂšcles Ă©grenĂ©s en deux heures ce panorama des Ă©tapes qui façonnĂšrent le Louvre ne prĂ©tend pas Ă l'exhaustivitĂ©. De 1527, date du retour de François Ier dans Paris, Ă la Seconde Guerre mondiale, oĂč les trĂ©sors du musĂ©e sont Ă©vacuĂ©s vers la zone libre, le documentaire dĂ©taille douze millĂ©simes charniĂšres. EtayĂ© d'extraits de films et d'interventions de spĂ©cialistes, le programme bĂ©nĂ©ficie de somptueuses numĂ©risations en 3D. Soucieuse de valoriser le document d'Ă©poque, l'Ă©mission se distingue par son ambition graphique et pĂ©dagogique. â HĂ©lĂšne Rochette 1 Deux autres numĂ©ros Ă venir, sur Venise et sur les chĂąteaux du Bordelais. Toutes les Ă©missions Lili Marleen, hymne nazi ou chant de la libertĂ© ? Elle illustre toutes les images de la Seconde Guerre mondiale et ponctue inĂ©vitablement toutes celles qui Ă©voquent Marlene Dietrich. La chanson Lili Marleen remonte pourtant Ă la PremiĂšre Guerre. En 1915, un jeune soldat allemand, sur le point de rejoindre le front russe, compose un poĂšme d'amour, mĂ©lancolique et non destinĂ© Ă publication. Revenu blessĂ© quelques mois plus tard, Hans Leip frĂ©quente les cabarets de Berlin et les paroles de ce poĂšme deviennent la chanson de la jeune sentinelle ». C'est une jeune artiste, Lale Andersen, qui l'interprĂšte alors en 1937, sans beaucoup de succĂšs. En 1941, pourtant, cette petite chanson populaire qui passe Ă la radio, au dĂ©but pour combler les trous de programmation, connaĂźt un immense succĂšs auprĂšs des troupes allemandes, puis, Ă Tobrouk, auprĂšs des troupes anglaises, qui l'entendent Ă©galement s'Ă©chapper le soir venu des radios allemandes. Air de propagande mis en avant par Goebbels, il assure l'incroyable notoriĂ©tĂ© de Lale Andersen, qui refuse pourtant de se soumettre Ă toutes les injonctions nazies. Goebbels pouvait sanctionner la chanteuse, mais pas la chanson, qu'il tente de martialiser. Erreur Lili Marleen sans Lale Andersen n'est plus celle qu'aiment les Allemands. Erreur encore d'avoir envisagĂ© une version anglaise pour dĂ©moraliser les AlliĂ©s, qui s'emparent alors Ă leur tour de Lili Marleen, bientĂŽt interprĂ©tĂ©e par Marlene Dietrich. Historiens et documents retracent l'Ă©tonnant itinĂ©raire muÂsical et idĂ©ologique de cette chanson, qui fut le premier tube planĂ©taire de l'histoire de la chanson. Les derniers jours de JĂ©sus JĂ©sus Ă©tait-il mariĂ© ? Comment s'est dĂ©roulĂ© son procĂšs ? Le Saint-SĂ©pulcre peut-il ĂȘtre son tombeau ? En ce lundi de PĂąques, Franck Ferrand examine les derniers jours de JĂ©sus Ă l'aune des dĂ©couvertes archĂ©ologiques les plus rĂ©centes. MĂ©thodiquement, chaque dĂ©tail de cette Passion du Christ est passĂ© au crible des connaissances historiques â un jeu du vrai ou faux riche en anecdotes et enseignements. Les Evangiles dĂ©crivent JĂ©sus chassant les marchands du Temple ; cette colĂšre soudaine est-elle historiquement plausible ? Les chĂątiments subis par le Christ flagellation, couronne d'Ă©pines, crucifixion correspondent-ils aux pratiques romaines de l'Ă©poque ? Pourquoi les Ă©crits chrĂ©tiens dĂ©noncent-ils le peuple juif comme dĂ©icide, alors que c'est le Romain Ponce Pilate qui a prononcĂ© la sentence ? Peu de certitudes, ici â encore moins de preuves dĂ©finitives. L'Ă©mission Ă©grĂšne quantitĂ© de thĂ©ories, sur lesquelles s'Ă©charpent depuis des dĂ©cennies ecclĂ©siastiques, experts et historiens. Au fil du xxe siĂšcle, chaque dĂ©couverte d'un papyrus, d'une gravure ou d'un manuscrit apocryphe est venue Ă©branler un peu plus les croyances. Tout cela est passionnant. Dommage que l'effet catalogue » des mystĂšres entourant la figure de JĂ©sus rende l'ensemble quelque peu indigeste. â Perrine Dutreil Fontainebleau, la demeure des rois AprĂšs l'ElysĂ©e et le Louvre, L'ombre d'un doute s'immisce sous le stuc et les fresques de Fontainebleau. Depuis le donjon carrĂ©, oĂč a trĂ©passĂ© Philippe le Bel en 1314, jusqu'au palais de François Ier, qui abrita deux siĂšcles aprĂšs son rĂšgne l'union de Marie Leszczynska et de Louis XV, les salles du chĂąteau regorgent de prĂ©sences. EvoquĂ©s chronologiquement, ces mĂąnes poussiĂ©reux ravivent des Ă©vĂ©nements aussi rocambolesques que diplomatiques. En mettant l'accent sur les pĂ©ripĂ©ties et les drames qui se nouĂšrent dans la royale demeure, l'Ă©mission prise le symbole, aux dĂ©pens d'un solide panorama historique. IntĂ©ressante, l'anecdote sur le sculpteur Cellini, Ă©vincĂ© de la cour de François Ier par la diabolique duchesse d'Etampes pour ne pas lui avoir prĂ©sentĂ© en prioritĂ© un bronze monumental, rappelle la prĂ©caritĂ© des artistes de la Renaissance. Et permet de souligner l'apport des Florentins dans le maniĂ©risme français. Mais, en choisissant notamment de s'attarder sur l'assassinat de l'Ă©cuyer de la reine Christine de SuĂšde, l'Ă©mission s'Ă©gare un peu dans l'antichambre du pouvoir. â HĂ©lĂšne Rochette 04/09/2022 L'affaire des poisons les secrets de Louis XIV Nouveau rendez-vous bimensuel, enregistrĂ© aux ÂArchives nationales, cette Ă©mission se donne pour Âmission de dĂ©crypter les Ă©nigmes historiques les plus controversĂ©es. Aux commandes du magazine, que nous n'avons pu voir, Franck Ferrand entend offrir une tribune aux thĂšses les plus divergentes ». Le journaliste, auteur d'ouvraÂges de vulgarisation et diplĂŽmĂ© de l'Ecole des hautes Ă©tudes en sciences sociales, qui admet se dĂ©gager de la vĂ©ritĂ© officielle », proposera des investigations fondĂ©es sur l'Ă©tude des documents. Parmi les seize numĂ©ros programmĂ©s, l'Ă©mission - au titre hitchcockien », souligne l'intĂ©ressĂ© ! - se penchera sur le visage probable de Jack l'Eventreur et sur la destinĂ©e de la chanson Lili Marleen. Classique dans son articulation prĂ©sentation du sujet, documentaire, entretien en Ă©pilogue avec un spĂ©cialiste, L'ombre d'un doute s'attache ici Ă un Ă©pisode trĂšs rebattu du Grand SiĂšÂcle l'affaire des Poisons. Le magazine examine l'affaire d'Etat derriĂšre la sĂ©rie d'empoisonnements qui troubla le rĂšgne de Louis XIV. A ÂdĂ©faut de nous garantir des sueurs froides, le proÂgramme devra surtout lever des soupçons de dĂ©jĂ -vu.
Flash News Pas de vidĂ©os ! Mettez des vidĂ©os dans votre "Watch Later" en cliquant sur lâicĂŽne au coin en bas Ă droite des vignettes de vidĂ©os. View all videos Don't miss new videos Sign in to see updates from your favourite channels Sign In POSTER UNE VIDEO Accueil EveillĂ© Lâombre dâun doute â Robespierre, bourreau de la VendĂ©e Lâombre dâun doute â Robespierre, bourreau de la VendĂ©e Loading advertisement... Up next Robespierre â La fabrication dâun monstre Cancel Nous utilisons trĂšs peu de cookies. Ils servent le bon fonctionnement du site ou recueillent des statistiques de visites. En cliquant sur âJ'accepteâ, vous acceptez ces cookies. Vous pouvez choisir de dĂ©sactiver certains cookies non nĂ©cessaires dans RĂ©glages Cookies.
PubliĂ© le 24-01-2013 Ă 13h14 - ModifiĂ© Ă 13h4433 rĂ©actions 29964 lu Temps de lecture 5 minutesLE PLUS. Pour la seconde fois en un an, France 3 a diffusĂ© le documentaire "Robespierre, bourreau de la VendĂ©e ?", prĂ©sentĂ© par Franck Ferrand. DerriĂšre ce documentaire, on trouve des propos historiquement contestables, selon notre chroniqueur Bruno Roger-Petit, qui s'Ă©tonne de la diffusion d'un programme aussi partisan. ĂditĂ© par sebastienbillard Auteur parrainĂ© par audebaron Le journaliste et romancier Franck Ferrand, animateur de "L'Ombre d'un doute" IBO/SIPA. France 3 sert-elle la soupe Ă Marion MarĂ©chal-Le Pen et Ă une bonne partie de la droite française dans ses versions les plus extrĂ©mistes ? La question est, on en convient, un peu provocatrice, mais elle ne peut pas ne pas se poser au lendemain de la diffusion pour la seconde fois en quelques mois... Pourquoi ? d'un bien Ă©trange documentaire sur les guerres de VendĂ©e. L'Ă©mission "L'Ombre d'un doute", prĂ©sentĂ©e par Franck Ferrand qui se consacre d'habitude aux dossiers les plus lourds de l'histoire, "Et si MoliĂšre n'Ă©tait pas l'auteur de ses piĂšces ?" ou bien encore "NapolĂ©on Ă©tait-il franc-maçon ?", avait dĂ©cidĂ© de se pencher sur le rĂšglement de la question vendĂ©enne par la Convention sous un titre aguichant "Robespierre, bourreau de la VendĂ©e ?" Allons droit au but qui connait l'histoire de la RĂ©volution et de la Convention face Ă la VendĂ©e, qui n'est pas de cette droite extrĂȘme et ou rĂ©actionnaire qui entend instrumentaliser l'Ă©pisode vendĂ©en pour dĂ©lĂ©gitimer la RĂ©publique nĂ©e des Droits de l'homme et du citoyen, ne pouvait que constater la chute de ses deux bras en assistant Ă la diffusion sur une chaĂźne de service public d'un documentaire, de fait politiquement engagĂ©, car insidieusement porteur des thĂšses farfelues et mensongĂšres propagĂ©es par la droite rĂ©actionnaire sur les guerres de VendĂ©e depuis la fin du XVIIIe siĂšcle. Un documentaire unilatĂ©ral et contestable Le mĂ©canisme propagandiste de l'Ă©mission, dĂ©jĂ diffusĂ©e, ayant Ă©tĂ© dĂ©montĂ©, piĂšce par piĂšce par deux historiens de la RĂ©volution, Marc Belissa UniversitĂ© Paris Ouest Nanterre-La DĂ©fense et Yannick Bosc UniversitĂ© de Rouen, on renverra Ă l'article complet de ces derniers. Pour les lecteurs les plus pressĂ©s, on livrera ici un rĂ©sumĂ© des procĂ©dĂ©s mis en Ćuvre par les responsables de l'Ă©mission, de Franck Ferrand Ă Christophe Bourseiller, en passant par le rĂ©alisateur, Richard Vargas, pour faire passer le message subliminal de l'Ă©mission tel qu'il pouvait ĂȘtre perçu par un tĂ©lĂ©spectateur peu averti "Robespierre et la RĂ©volution sont les ancĂȘtres de notre actuelle RĂ©publique des droits de l'Homme, construite sur un gĂ©nocide cachĂ© et niĂ© qui annonçait lui-mĂȘme les grands gĂ©nocides du XXe siĂšcle, des Nazis aux Khmers Rouges, si vous voyez ce qu'on veut dire..." Le dĂ©montage du documentaire diffusĂ© par France 3 par BĂ©lissa et Bosc et par l'auteur de ces lignes, qui connait la tĂ©lĂ© et ses procĂ©dĂ©s est implacable. En bref - Les conclusions historiques et politiques sont toutes tirĂ©es par les historiens ou pseudo-historiens favorables Ă la thĂšse du "GĂ©nocide" Reynald Secher, dont les travaux universitaires ont Ă©tĂ© disqualifiĂ©s depuis longtemps par ses pairs, StĂ©phane Courtois, historien anti-communiste, Jean Artarit, un psychanalyste Ă©garĂ© dans le champ de l'histoire, et une plĂ©iade d'intervenants tous plus ou moins liĂ©s aux courants politiques de droite et d'extrĂȘme droite dĂ©cidĂ©s Ă faire des guerres de VendĂ©e l'acte fondateur des terreurs nazie et communiste du XXe siĂšcle. - Jean-ClĂ©ment Martin, le seul vrai universitaire dont les travaux font autoritĂ© sur la pĂ©riode et le thĂšme abordĂ© est cantonnĂ© dans un rĂŽle alibi destinĂ© Ă camper le paysage de l'Ă©poque et Ă prĂ©senter des faits que personne ne conteste. En revanche, seuls les historiens "idĂ©ologues", tels Secher et Courtois ont le droit de qualifier politiquement les Ă©vĂ©nements. -La mise en scĂšne prĂ©sente systĂ©matiquement les VendĂ©ens et les Chouans comme les gentils, tandis que les RĂ©publicains sont toujours les mĂ©chants choix des illustrations, choix des musiques, prĂ©sentation de massacres uniquement perpĂ©trĂ©s par les Bleus, jamais par les Blancs, etc. Les Bleus "massacrent", les Blancs "s'en prennent Ă ". - Le vocabulaire de l'Ă©poque est rĂ©interprĂ©tĂ© en fonction de l'acquisition de sa signification contemporaine, notamment le mot "extermination". Comme le prĂ©cisent Belissa et Bosc "Si les 'historiens' du documentaire avaient quelques connaissances en histoire militaire et politique de lâĂ©poque moderne, ils sauraient que la rhĂ©torique de lâextermination nâest pas spĂ©cifique aux rĂ©volutionnaires français. Sans revenir aux guerres de religion du XVIe siĂšcle, elle est prĂ©sente dans la plupart des conflits du XVIIIe siĂšcle quand ils impliquent des populations civiles ..." - Des lĂ©gendes et rumeurs entretenues depuis deux siĂšcles par les partisans du rĂ©visionnisme vendĂ©en sont prĂ©sentĂ©es comme des faits avĂ©rĂ©s notamment les mĂ©faits prĂȘtĂ©s Ă Carrier. - Face Ă un Franck Ferrand complice, le tout dĂ©bouche sur l'ultime conclusion, profĂ©rĂ©e par le journaliste Christophe Bourseiller, dĂ©crĂ©tant selon BĂ©lissa et Bosc, "avec beaucoup dâaplomb que les colonnes infernales de Turreau 'prĂ©figurent les Einsatzgruppen' nazis et oui, dans les deux cas, il y a eu des massacres dans les bois. Robespierre, ce nâest plus seulement LĂ©nine, Staline et Pol Pot, câest directement Hitler et la SSâŠIl est vrai que le "communisme" et le "nazisme" câest tout un⊠Certes, Bourseiller trouve que Secher exagĂšre quand il parle de "fours crĂ©matoires". Il est modĂ©rĂ©, le journaliste Bourseiller, pas comme les rĂ©volutionnaires qui ont anticipĂ© les Khmers rouges en changeant le nom de la VendĂ©e en "VengĂ©" comme Pol Pot a appelĂ© son pays le Kampuchea. La comparaison laisse pantois". France 3, alliĂ©e objectif de forces politiques extrĂ©mistes ? Au bout du dĂ©montage, le citoyen et tĂ©lĂ©spectateur s'interroge comment un documentaire aussi contestĂ©, parce que contestable, porteur unilatĂ©ral de thĂšses historiquement fausses, voire falsifiĂ©es et politiquement problĂ©matiques, voire inadmissibles, a-t-il pu se retrouver, en l'Ă©tat, diffusĂ© deux fois en un an ! sur les antennes d'une chaĂźne de service public ? Comme le notent Belissa et Bosc "La tĂ©lĂ©vision de service public â quâelle en soit remerciĂ©e â a ainsi tout mis en Ćuvre pour offrir une leçon dâanti-mĂ©thode historique". Le pire, c'est que cette rediffusion survient quelques jours aprĂšs l'annonce du dĂ©pĂŽt d'une proposition de loi demandant la "reconnaissance du gĂ©nocide vendĂ©en", initiĂ©e par Lionnel Luca, dĂ©putĂ© de l'aile droite de l'UMP, co-signĂ©e par Marion MarĂ©chal-Le Pen et une soixantaine de parlementaires, tous issus des familles politiques qui ont fait des guerres de VendĂ©e l'instrument de la dĂ©lĂ©gitimation de l'hĂ©ritage de la RĂ©volution française. On s'Ă©tonne mĂȘme du peu de rĂ©actions que le contenu de cette Ă©mission suscite, tant Ă la premiĂšre diffusion qu'Ă la seconde. Et pourtant, ce dĂ©bat rejoint celui qui se dĂ©veloppe autour de la question du mariage pour tous, car les forces qui se dĂ©ploient pour s'opposer au mariage gay sont les mĂȘmes que celles qui entendent rĂ©viser l'histoire de la RĂ©volution française Ă travers la reconnaissance d'un pseudo-gĂ©nocide vendĂ©en. En diffusant et rediffusant ce documentaire en moins d'un an, dans un tel contexte, France 3 s'est aussi faite l'alliĂ©e objectif de forces politiques extrĂ©mistes. Est-ce bien responsable ? Est-ce bien le rĂŽle de la tĂ©lĂ©vision publique ?Dumnac a postĂ© le 11 juin 2014 Ă 10h00Ăternelle rĂ©action d'un soit disant historien complĂštement imbibĂ© de la version "officielle" de la guerre de VendĂ©e. Pour qu'il ne meure pas idiot, je lui conseille de lire le bouquin d'Alain GĂ©rard intitulĂ©"VENDEE - les archives de l'extermination", Ă©ditions du cvrh, recueil indĂ©niable d'archives vĂ©rifiables ! A moins, bien sĂ»r, que l'on conteste ces archives...claudedelyon a postĂ© le 11 juin 2014 Ă 10h23Pierre BRANA "A moins, bien sĂ»r, que l'on conteste ces archives..." Archives, ou propagande de militant? plĂ©onasme! Je ne sais pas je pose la question...Dumnac a postĂ© le 13 juin 2014 Ă 12h53Je ne suis pas militant de quoi que ce soit. Je me fie Ă des archives rĂ©fĂ©rencĂ©es et indĂ©niables qui n'ont rien Ă voir Ă de la peopagnade ! Pour ce qui concerne le livre d'Alain GĂ©rard en question, je vous prĂ©cise que cet homme est chercheur Ă l'universitĂ© de Paris IV- Sorbonne , et qu' il a créé le Centre VendĂ©en de recherches historiques. Son oeuvre qui a Ă©tĂ© couronnĂ©e par quatre grands prix de l'AcadĂ©mie française et de l'AcadĂ©mie des sciences morales et politiques, est le fruit d'annĂ©es de recherches dans les archives. Cet Ă©pisode de notre histoire est un sujet TABOU depuis Michelet ! Mais les faits sont lĂ , indĂ©niables ! Qaund j'Ă©tais au lycĂ©e il y a se nombreuses annĂ©es, on m'enseignait que la guerre de VendĂ©e Ă©tait un mouvement rĂ©actionnaire royaliste, mis en oeuvre par les nobles en profitant de la naĂŻvetĂ© de leurs paysans. En rĂ©alitĂ©, ce sont les paysans qui sont allĂ©s chercher dans leur chĂąteau les nobles, ex-officiers du roi, pour les commander ! Permettez-moi de vous conseiller de vous documenter sur François Furet et Pierre Chaunu, historiens bien connus, qui ont osĂ© mettre en doute la thĂšse officielle qui, en fait, est la honte de la RĂ©publique. Je ne mets pas en doute votre honnĂȘtetĂ© intellectuelle, cher monsieur. Je veux seulement vous ouvrir les a postĂ© le 5 fĂ©vrier 2014 Ă 06h28Le seul problĂšme d'Ă©quilibre, pour BRP, c'est que la France ne soit pas comme la Russie du bon vieux temps, cette ancienne capitale du progressisme qu'il Ă©voque sans cesse. Ainsi, la tĂ©lĂ© ose laisser s'exprimer des Ă©ditorialistes qui n'adhĂšrent pas au dogme gauchiste bienveillant ? Mais oĂč va la dĂ©mocratie ? VoilĂ quâen dĂ©pit de lâhĂ©gĂ©monie gauchiste du monde bobo journalistique et enseignant, la droite se fait entendre. Et en plus des familles mĂ©contentes manifestent ! Mais c'est rĂ©servĂ© aux Ă©tudiants ! Oh Mai 68, si tu m'entend dis-moi oĂč est passĂ© la pratique religieuse du Culte ? Il y a bien encore quelques grands prĂȘtres, tel BRP, qui haranguent les foules depuis leur vieux temple mĂ©diatique, mais les anciens croyants ont dĂ©sertĂ©. MĂȘme les personnalitĂ©s juives, de Zemour Ă Levy, rejoignent la foule nausĂ©abonde, rĂ©gressive et marĂ©chaliste ! Ă ce sujet, je conseille Ă BRP la lecture du livre de Simon Epstein "Un Paradoxe Français", oĂč Epstein Ă©tablie la âlongueâ liste des personnalitĂ©s de gauche, pĂ©tainistes ayant collaborĂ© sous Vichy. Ăa l'aiderait Ă ne pas nous resservir ce mythe de la droite collaborationniste âparlant de mensonge et manipulation. a postĂ© le 5 fĂ©vrier 2014 Ă 06h33Mes excuses, ce commentaire Ă©tait en rĂ©ponse Ă un autre article de BRP Je viens de le mettre sur la bonne a postĂ© le 5 fĂ©vrier 2014 Ă 09h05Interessant toutefois de voir que ce commentaire n'est pas censurĂ© sur cette page, mais qu'il l'est sur l' a postĂ© le 1 fĂ©vrier 2014 Ă 06h46EntiĂšrement d'accord avec les commentaires qui prĂ©cĂšdent. Il semblerait que la seule faute commise par Ferrand soit d'avoir osĂ© proposer une lecture de ce sujet qui ne soit pas celle de l'histoire, orientĂ©e pour le coup, imposĂ©e par des romanciers engagĂ©s comme Michelet parlant d'un mauvais historien ou par des marxistes comme Soboul. Et en prime Ă la tĂ©lĂ©, a quoi pensait-il ? âAinsi les reacs rĂ©cupĂšrent Ă des fins politiques l'Ă©pisode VendĂ©en ? Parce que la gauche n'a jamais exploitĂ© Petain, le nazisme et la Shoah ? On aurait pourtant jurĂ© ! âSeycher disqualifiĂ© par ses pairs je pense bien, ils sont tous de gauche, voir d'extrĂȘme gauche. Courtois anti-communiste parce que c'est une faute qui disqualifie d'office ses propos ? Pour un spĂ©cialiste du CNRS qui a Ă©tudiĂ© toute sa vie un systĂšme criminel ayant fait des dizaines de millions de morts Ă travers le monde⊠Ses interviews Ă l'AcadĂ©mie Française sont pourtant pointues. Mais attention, ne pas comparer communisme au nazisme. Pourquoi ? Ne sont-ils pas deux totalitarismes criminels ? Quand aux thĂšses de cette Ă©mission, elles ne sont ni mensongĂšres, ni farfelues. Par contre, elles ont longtemps Ă©tĂ© tabous et rĂ©primĂ©es par le camp politique de l'auteur, qui est lui-mĂȘme clairement engagĂ©, et qui supporte visiblement mal le droit Ă l'engagement des a postĂ© le 14 mai 2013 Ă 22h54Je ne suis pas du tout d'accord avec vous et pourtant je ne suis pas de droite, je n'ai pas d'attaches affectives ou familiales avec les dĂ©partements de la "vendĂ©e militaire" et accessoirement j'ai une formation d'historienne bac+4. Pendant, mes annĂ©es d'Ă©tudes, j'ai pu constater Ă quel point la mĂ©moire collective peut entraver une Ă©tude dĂ©passionnĂ©e de l'histoire. Je pense que vous avez une vision mĂ©morielle de la RĂ©volution Française. Et j'insiste bien sur le mot mĂ©moriel. Votre vision de la RĂ©volution ne peut ĂȘtre entachĂ©e par l'idĂ©e que des massacres de civils aient peu avoir lieu en VendĂ©e et qu'on ait pu massacrer des populations entiĂšres. Mais l'histoire n'a pas Ă vous plaire et n'a que faire de vos Ă©tats d'Ăąme. Vous reprochez Ă certains historiens ce que vous faites vous mĂȘme proposer une vision mĂ©morielle et unilatĂ©rale de de RĂ©volution. On sent effectivement chez certains historiens une certaine exaltation et le mot "monsieur henri" m'a fait sourire. Cependant, les crimes de Nantes ont Ă©tĂ© prouvĂ©s, le contexte historique et international extrĂȘmement tendu n'est pas occultĂ© de mĂȘme que les actes de violence dont les vendĂ©ens ont Ă©tĂ© responsables et les raisons financiĂšres qui ont Ă©tĂ© Ă l'origine du soulĂšvement. Vous confondez mĂ©moire et histoire et montrez brillamment et involontairement Ă quel point il reste trĂšs difficile de dĂ©velopper une analyse dĂ©passionnĂ©e de la RĂ©volution Française aujourdh'hui encore. Ce quundejeunersurlherbe a postĂ© le 14 mai 2013 Ă 22h26J'ai une formation d'historienne et je ne suis pas de droite. Je ne me reconnais pas du tout dans le discours anti-rĂ©volution. Je n'ai aucun lien affectif et familial avec les dĂ©partements de la "VendĂ©e militaire". Absolument rien dans ce documentaire ne me choque. La violence des vendĂ©ens n'a pas Ă©tĂ© minimisĂ©e dans ce documentaire il me semble. Il montre Ă©galement que les causes de l'insurrection vendĂ©ennes Ă©tait loin d'ĂȘtre strictement idĂ©ologique. Par ailleurs votre façon d'analyser le documentaire montre Ă quel la mĂ©moire collective, la construction mĂ©morielle qui s'est construite peut engendrer une vision rigide. Vous ĂȘtes journaliste politique et cela s'entend beaucoup trop! Le lien avec le mariage gay me semble plus qu'hasardeux dans votre analyse. Manifestement, pointer du doigt l'ampleur et le dĂ©chaĂźnement de violences qui se sont exercĂ©es en VendĂ©e vous dĂ©range, tant pis pour vous. Les violences exercĂ©es contre la population civile Ă Nantes ont Ă©tĂ© prouvĂ©es historiquement. Vous reprochez Ă certains historiens ce que vous faites vous mĂȘme proposer une vision unilatĂ©rale de l'histoire gouvernĂ©e par la mĂ©moire plus que par l'histoire. Alors que le travail d'historien consiste Ă essayer de comprendre et analyser des pĂ©riodes complexes sans porter de jugements de valeur. Il me semble sain dans une dĂ©mocratie de prĂ©senter diffĂ©rentes analyses d'une pĂ©riode historique. On peut assumer l'histoire de la RĂ©volution Française dans sa mfranza a postĂ© le 25 janvier 2013 Ă 11h02On peut s'interroger sur une rediffusion mais quand cesserons-nous de laisser l'Histoire ĂȘtre traitĂ©e par des journalistes-romanciers, des politiques qui s'ennuient, des artistes sans contrats ou des animateurs de cirque mĂ©diatique. J'invite chacun Ă se replonger dans les ouvrages de François Furet et Mona Ozouf. Cela ouvrira les esprits au lieu de poursuivre cette Ă©ternelle guerre civile franco-française terminĂ©e par l'universitĂ©. L'histoire est une science qui s'appuie sur des sources et le rapport entre la guerre civile vendĂ©enne et la Grande Terreur ne fĂ»t en rien un "gĂ©nocide". La Convention n'a pas ordonnĂ© l'extermination des lyonnais, la capitale des gaules rebaptisĂ©e Ville affranchie me semble-t-il...ni celle des vendĂ©ens qui se trouvaient vivre Ă Paris au prĂ©texte qu'ils Ă©taient nĂ©s Ă la Roche sur a postĂ© le 25 janvier 2013 Ă 20h42Le" journaliste-romancier" est aussi HISTORIEN!... Quand les français accepteront-il l'idĂ©e que certains faits historiques ont Ă©tĂ© mal compris, mal rĂ©digĂ©s etc...?... monsieur Ferrand OSE lire, Ă©tudier des textes et transmettre, il n'a rien "d'un animateur de cirque mĂ©diatique"... Il soulĂšve un voile, nous dit ce qu'il cache et nous laisse la libertĂ© de vĂ©rifier ses dires...Il n'impose pas, il cherche Ă coller au plus prĂšs de la VĂ©ritĂ©... est-ce cela qui dĂ©range tant?....Louisdixsept a postĂ© le 25 janvier 2013 Ă 09h14olivier26 a postĂ© le 25 janvier 2013 Ă 08h47effectivement M Bruno Roger Petit, ce type d'Ă©mission pseudo historique Ă sens unique est indigne d'ĂȘtre financĂ©e et diffusĂ©e par une chaĂźne publique alimentĂ©e par la redevance que paient tous les contribuables quelle que soit leur couleur politique. Nous ne pleurerons donc pas sur les coupes budgĂ©taires que vont subir ces chaines dites publiques qui sont totalement manipulĂ©es par la propagande nĂ©o libĂ©rale cf PUJADAS et LENGLET sur F2 et par l'idĂ©ologie rĂ©actionnaire et ,dans le cas d'espĂšce rĂ©visionniste pour tenter de remettre en cause l'image de la rĂ©volution française. On ne pourra que noter parmi les auteurs de cette Ă©mission un certain BOURSEILLER dont on peut "apprĂ©cier" depuis plus d'un an jusqu'Ă saturation les exploits partisans et l'insipiditĂ© dans la matinale de France musique Ă quand l'alternance sur les chaĂźnes publiques TV et radio ?LaLiberta a postĂ© le 25 janvier 2013 Ă 09h38"A sens unique" ?... je crains que l'Histoire ne soit en effet que dans le sens "historique"... Monsieur Ferrand nous donne des faits, connus Ă dĂ©faut d'ĂȘtre reconnu. Pour une fois qu'une chaĂźne publique donne des Ă©missions, Ă une heure oĂč fort peu de tĂ©lĂ©spectateurs peuvent participer, digne de la Culture et de l'Histoire, je ne comprends pas votre rĂ©ticence. Ce n'est pas une Ă©mission "pseudo historique", l'Histoire est un travail de longue haleine oĂč chaque Ă©crit est pris en considĂ©ration, ensuite on peut en discuter, c'est ce que fait, fort bien, cet historien qui est aussi journaliste et a postĂ© le 24 janvier 2013 Ă 22h59Bruno Roger Petit ne supporte que les Ă©missions engagĂ©es Ă gauche, c'est bien a postĂ© le 24 janvier 2013 Ă 22h25Le moins que l'on puisse dire est que monsieur Buno-Petit est loin d'ĂȘtre aussi objectif que monsieur Franck Ferrand... il faut dire que l'un "fait" de la politique ou plus exactement SA politque, l'autre fait de l'Histoire !... un a un enjeu, l'autre non !... et je ne suis pas prĂ©cisĂ©ment de droite !!!!cracker a postĂ© le 24 janvier 2013 Ă 18h05Existe-t-il une propagande institutionnelle de la diversitĂ© » ? Le Centre national du cinĂ©ma et de lâimage animĂ©e, anciennement Centre national de la cinĂ©matographie, toujours dĂ©signĂ© par le sigle CNC, est un Ă©tablissement public Ă caractĂšre administratif français, dotĂ© de la personnalitĂ© juridique et de l'autonomie financiĂšre. Il a Ă©tĂ© créé par la loi du 25 octobre 1946. Il est placĂ© sous l'autoritĂ© du ministĂšre chargĂ© de la Culture. Le CNC est actuellement prĂ©sidĂ© par VĂ©ronique Cayla source WikipĂ©dia. Le CNC est dotĂ© dâune commission, Image de la diversitĂ© » assortie dâun fonds 8,7 millions dâeuros sur la pĂ©riode 2007/2008. Son but est dâattribuer des aides aux Ćuvres cinĂ©matographiques et audiovisuelles contribuant Ă la reprĂ©sentation de la diversitĂ© en France. Ce fonds a derniĂšrement soutenu les films les plus convenus comme Entre les murs, Welcome, Neuilly sa mĂšre, la sĂ©rie Tv Plus belle la vie et le tĂ©lĂ©film AĂŻcha de Yamina Benguigui. Des choix conformes Ă lâidĂ©ologie dominante et aux critĂšres imposĂ©s par la police de la pensĂ©e source Novopress. a postĂ© le 24 janvier 2013 Ă 18h03Ouvrez les yeux, Robespierre Ă©tait un FOU sanguinaire! Il a exterminĂ© les girondins et nous supportons encore aujourd'hui les consĂ©quences de sa folie. Pays hypercentralisĂ©, dogmatique, lutte des classes et haine de celui qui est diffĂ©rent. C'est un peu Ă lui que nous devons d'avoir perdu plus de 100 ans avec Bonaparte, NapolĂ©on, La Restauration, Louis-Philippe, mettons NapolĂ©on III entre parenthĂšses car avec Haussmann, ils ont tout de mĂȘme fait du bon boulot, mĂȘme s'il y a eu des excĂ©s, Thiers, etc... Enfin, il ne me semble pas avoir jamais lu un de vos posts oĂč vous parliez objectivement de Sartre et d'Aragon, de leur hypocrisie vis Ă vis des communistes et de citer ce qu'en pense Kundera qui rĂšgle son compte Ă Aragon. Deux poids / Deux mesures chez a postĂ© le 24 janvier 2013 Ă 16h15Il est plus qu'urgent de lire ou relire "QUATRE-VINGT TREIZE" de Victor a postĂ© le 24 janvier 2013 Ă 23h37TrĂšs bon romain, et surtout trĂšs honnĂȘte. Pourtant Hugo n'est pas un partisan des contre-rĂ©volutionnaires...GeorgeOrwell a postĂ© le 24 janvier 2013 Ă 16h06 Moi, si je faisais l'histoire de la RĂ©volution ..., je dirais tous les crimes des rĂ©volutionnaires, seulement je dirais quels sont les vrais coupables, ce sont les crimes de la monarchie » Victor Hugokikuchi a postĂ© le 24 janvier 2013 Ă 16h04Mr BRP est lui mĂȘme partisan, personne ici bas n'a Ă©tĂ© le tĂ©moin direct des exactions perpĂ©trĂ©es Ă cette Ă©poque, mais on peut ĂȘtre certain que l'Ă©tat "rĂ©publicain" n'avait pas dĂ» lĂ©siner sur les moyens pour arriver Ă ses fins et aura donc contribuer Ă des rĂ©actions contre rĂ©volutionnaires puis Ă des migrations de milliers vendĂ©ens vers le QuĂ©bec pour Ă©chapper Ă l'occupation des "rĂ©publicains". L'histoire est encore ancrĂ©e en VendĂ©e, elle est toujours "rĂ©actionnaire", puisqu'elle va Ă l'Ă©glise , vote Devilliers, mais pourquoi? Des rĂ©miniscence de l'histoire enfouient dans l'inconscient collectif, peut-ĂȘtre?. De plus, la rĂ©volution a plus ressemblĂ© Ă de l'Ă©puration, l'usage dĂ©bridĂ© de la guillotine en a Ă©tĂ© l'illustration. L'histoire est souvent plus nuancĂ©e que l'avis tranchĂ© d'un " expert", qu'il soit journaliste ou historien. la pĂ©riode Robesperrienne a Ă©tĂ© une pĂ©riode noire de notre histoire, comme toute rĂ©volution. Voir l'histoire sous un autre angle rend-t-il un journaliste rĂ©actionnaire. Il ne va pas dans votre sens , c'est a postĂ© le 24 janvier 2013 Ă 16h56Robespierre a du faire face Ă - la pression sociale des sans culotte qui rĂ©clamaient, Ă juste titre, la fixation d'un maximum des prix pour les grains on se nourrissait principalement de pain Ă l'Ă©poque - la volontĂ© populaire de juguler la rente par l'application du revenu maximum votĂ© au moment de l'abolition des privilĂšges et de faire participer les riches Ă l'effort de la nation souvent la Convention Nationale Ă©tait prise de cours par le peuple agissant de lui-mĂȘme via des prĂȘts forcĂ©s par exemple - la guerre des monarchies europĂ©ennes contre la RĂ©publique naissante ; des monarchies soutenues par les restes de monarchies et une partie de la bourgeoisie alliĂ©e Ă une partie assez importante du clergĂ© double danger interne et externe Robespierre a choisi le camp des sans culottes pour sauver la rĂ©volution des forces rĂ©actionnaires. Les avancĂ©es sociales votĂ©es sous son rĂ©gime sont autant d'inspiration pour les progressistes d'aujourd'hui. La pĂ©riode Robesperrienne est par consĂ©quent une pĂ©riode que le camp progressiste se doit de a postĂ© le 24 janvier 2013 Ă 23h36Metal King... donc on ne fait pas dâomelette sans casser les oeufs. Oui, vous le dĂ©fendez, mais il n'empĂȘche que Robespierre et ses sbires sont Ă ranger parmi les criminels contre l' a postĂ© le 24 janvier 2013 Ă 15h33Je n'ai pas vu ce doc et pas encore eu le temps de lire tous les articles en rĂ©fĂ©rence mais je connais bien Franck Ferrand par ses Ă©missions radio et tv depuis des annĂ©es il est loin d'ĂȘtre un mauvais historien. Bien sĂ»r une erreur est toujours possible. Il faut aussi admettre que mĂȘme des "gentils" peuvent comettre des actes odieux les Anglais et la ville de Dresde, les AmĂ©ricains avec Hiroshima et Nagasaki, les crevettes de Bigard pour ne citer que des exemples rĂ©cents. Avec l'Histoire il ne faut pas ĂȘtre primaire car elle est toujours a postĂ© le 24 janvier 2013 Ă 16h37Victor Hugo n'a pas connu la rĂ©volution, il relatait un son de cloche. Personne ne peut dire ce qu'il s'est rĂ©ellement passĂ©, l'attitude de chacun sur ce point est forcĂ©ment partisane quand bien mĂȘme il s'agit de Victor a postĂ© le 24 janvier 2013 Ă 14h51BRP rĂ©visioniste ? Il n'y a que de bons martyrs qu'Ă gauche n'est ce pas ? Je tremble Ă l'idĂ©e de ce qu'aurait pu commettre citoyen BRP Ă l'Ă©poque de la Convention . On sent dans sa prose comme un regret de n'avoir pas participĂ© Ă la a postĂ© le 24 janvier 2013 Ă 14h28Oui, il y a effectivement des choses Ă©tranges en ce moment. Souvenons-nous qu'au moment de l'Ă©pisode Depardieu, pas moins de 3 personnes en une semaine Catherine Deneuve [A Philippe Torreton "'Qu'auriez-vous fait en 1789 ?"], Alain Afflelou et Laurence Parisot ont fait rĂ©fĂ©rence Ă la pĂ©riode 1789, et pas pour disserter de la DDHC, de la prise de la Bastille ou de l'abolition des privilĂšges, mais bien en rĂ©fĂ©rence Ă la pĂ©riode de la Terreur. La contre-rĂ©volution dĂ©crite par E. Chouard et les sociologues Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot serait-elle en marche ?claudedelyon a postĂ© le 24 janvier 2013 Ă 15h07Les personnes qui font allusion Ă 1789 montrent leur ignorance. Comment ^peut-on ĂȘtre contre l'abolition des privilĂšges? A moins de profiter des dits privilĂšges, ou d'en ĂȘtre nostalgiques! La terreur c'Ă©tait 1993. J'ai connu un ministre de l'IntĂ©rieur qui traitait les militants qui aidaient les migrants de de Calais de "droitdel'hommistes". Voila un mot qui se veut insultant qui disqualifie celui qui le prononce. Il prouve que cette personne est Ă©trangĂšre Ă nos valeurs. A droite on fustige Robespierre. Adolf* Thiers qui a des boulevards Ă son nom a fait plus de victimes que l'Incorruptible! *ça s'Ă©crit normalement Adolphe, mais je n'ai pas pĂ» rĂ©sister...jeanmartais a postĂ© le 24 janvier 2013 Ă 16h06C. Delyon "La terreur c'Ă©tait 1793" Oui, c'est pour ça que je faisais rĂ©fĂ©rence Ă la "pĂ©riode 1789" la rĂ©volution dans son ensemble, pas spĂ©cifiquement Ă l'annĂ©e 1789. Mais pour Deneuve, Afflelou, Parisot, Lionnel Luca et consort, la rĂ©volution française a probablement commencĂ© en 1793...claudedelyon a postĂ© le 24 janvier 2013 Ă 17h08Jean Martais Il n'y a pas de blĂȘmeon est bien d'accord!berenger a postĂ© le 25 janvier 2013 Ă 07h45Vous faites preuve de votre ignorance. Vous devriez vous demander pourquoi le representant des valees vaudoise a vote contre...
l ombre d un doute robespierre